SPLENDID FANS CLUB
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Le Forum de Christian Clavier, Thierry Lhermitte, Marie-Anne Chazel, Josiane Balasko, Michel Blanc, Gerard Jugnot.
 
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 Ni pour, ni contre, bien au contraire...

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Bernard
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MessageSujet: Ni pour, ni contre, bien au contraire...   Ni pour, ni contre, bien au contraire... EmptyVen 27 Jan - 17:44

Cette sortie-événement fait couler énormément d'encre, elle est en couverture d'une pléthore de magazines depuis qu'elle est annoncée, et les critiques se déchaînent... que ce soit dans les divers journaux, les programmes télé, les magazines... Nous devrions mettres toutes les critiques, de presse bien sûr, ici, non ?!

(personnellement, j'attends celle du Canard enchaîné, elles sont souvent justes.. enfin je suis souvent du même avis, plutôt... mais elle ne paraîtra que le jour de sa sortie !)
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MessageSujet: Re: Ni pour, ni contre, bien au contraire...   Ni pour, ni contre, bien au contraire... EmptyVen 27 Jan - 17:47

la critique d'RTL (partenaire du film) :
"Je me suis bien marré.... Les "Bronzés" ont bonne mine, la petite troupe du Splendid a magnifiquement relevé le défi de cette suite, exercice sacrément casse gueule quand on y réfléchit. L'explication, c'est qu'il ont bossé, le scénario tient la route.

On les retrouve en Sardaigne, dans l'hôtel "Prunus Resort", spécialisé dans les soins aux pruneaux, établissement lamentablement dirigé par Robert, alias Popeye, qui s'est marié à une comtesse italienne et qui reste un sacré obsédé. Débarque Jérôme, alias Christian Clavier, quasi SDF depuis qu'il a été radié de l'ordre des médecins.

On retrouve aussi Jessie, alias Jean-Claude Dusse, irrésistible Michel Blanc. Il a fait fortune avec ses salons de coiffure et ses compléments capillaires aux States. En 27 ans, tout lui a réussit. Et il suffit qu'il pose le pied sur le ponton de l'hôtel en Sardaigne pour que les ennuis s'accumulent. Il connait pas mal de "downs" dans le film, et a besoin de quelques warm-up. Balasko et Jugnot sont plus mimiles que jamais avec leur Loulou de Poméranie. Jugnot devra surmonter un choc psychologique considérable. Il apprend la vérité sur son fils...

Voilà, les rebondissements s'enchaînent, les personnages sont attachants, on les retrouve comme on les aimait... en pire, c'est vrai. Le film multiplie les clins d'oeil aux épisodes précédents. On rit, on tremble, il y a du suspens, une bête rode dans les parages de l'hôtel. Il y a même une enquête quasi policière, une recherche en paternité, une scène gore. Je pense aux lèvres de Dominique Lavanant, de la sensualité avec la bombe Gigi, franchement nymphomane depuis qu'elle fait du 95 F. L'histoire dira si "Les Bronzés 3" deviendront culte. Je peux déjà vous dire que c'est la franche rigolade qu'on espérait".
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MessageSujet: Re: Ni pour, ni contre, bien au contraire...   Ni pour, ni contre, bien au contraire... EmptyVen 27 Jan - 17:50

celle de "avoir à lire" :
Annonçons la couleur tout de suite, le teaser dit vrai : ce sont les mêmes en pire. Et justement on s’y attendait, au pire. Comment refaire un film culte comme Les bronzés font du ski avec des répliques qui font mouche à chaque fois ? Comment recréer la magie de deux films devenus des légendes malgré eux ? En prenant les mêmes et en recommençant ? Le pari était risqué. On les attendait au tournant. Verdict : la fine équipe du Splendid s’en tire très honorablement.
Les mêmes en pire ? Vieillir ça n’arrange personne, c’est bien connu. Aussi, on retrouve Gigi qui refuse justement de vieillir et qui, à cinquante balais, est toujours aussi midinette et futile. Une paire de seins monstrueuse en plus. JC Duce (prononcer Jessy à l’américaine) qui, las de ses galères, est parti aux States. Là-bas, tout lui réussi. Mais dès qu’il repose le pied en Europe, en revanche... Popeye, qui a viré vieux beau mais qui n’a pas changé d’un iota dans ses rapports avec les femmes (il vit aux crochets de sa femme - Ornella Muti - et, bien entendu, la trompe allègrement). Jérôme, qui a tout perdu : Gigi, et son boulot à cause d’une opération de chirurgie esthétique ratée sur la personne de Bernadette (Dominique Lavanant). Et le couple vedette, Bernard et Nathalie, toujours aussi égoïstes, toujours aussi mesquins, toujours aussi drôles.
On est content de les retrouver comme une bande de vieux potes perdus de vue. On a encore en tête les fous rires piqués, même à la sixième vision, des Bronzés font du ski (le meilleur de la "trilogie"). Et finalement, on rigole plutôt. Pari gagné donc ? Pas totalement... Il y a quelques bons mots ("On s’est aimé avant de s’aimer. C’est beau, c’est comme un film de Lelouch", "C’était dans les années 68 - Tu me prends pour un con ? C’était dans les années 79 !", "Pourquoi elle lui parle ? - C’est un golfeur !") mais le tout sent un peu le réchauffé. Jean-Claude Duce a troqué le télésiège contre un jet-ski et reste assis tout seul au milieu de l’océan, en chantant et en attendant les secours. Mouais... les souvenirs qui font référence à leurs vacances en Côte d’Ivoire ou à Val d’Isère ont un goût de madeleine de Proust agréable, mais faudrait voir à ce qu’elles ne nous restent pas sur l’estomac les madeleines, à force.
Au final, un film comique honnête, avec quelques bons moments et quelques longueurs, une brochette d’acteurs plutôt en forme avec une mention particulière pour Josiane Balasko et Michel Blanc qui décidément sont des grands, une nostalgie retrouvée pendant 1 heure 37. Tout ça n’est déjà pas si mal.


(...vous avez remarqué ? Dominique Lavanant s'appelle Bernadette, d'après eux.. ils ont confondu avec Papy fait de la réistance !!! Ont-ils vu le film ? ça me rappelle une critique du Père Noël est une ordure qui disait que Dominique Lavanant y jouait mal (elle a pas d'pot, pauvre Dominique...), là, j'ai un doute !)
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MessageSujet: Re: Ni pour, ni contre, bien au contraire...   Ni pour, ni contre, bien au contraire... EmptyVen 27 Jan - 17:53

celle de Écran large :

Rares sont les films qui sont aussi attendus que ces Bronzés 3. Une attente forcément irrationnelle née de l’engouement cultissime entourant les deux premiers opus et ce depuis maintenant 25 ans. Si l’annonce du projet avait d’abord un temps suscité une joie immodérée (« On va enfin retrouver Jean-Claude Dus, Gigi, Popeye et les autres ! »), un sentiment plus prudent voire cohérent avait vite fait de nous rappeler à une réalité plus terre à terre : la fine équipe du Splendid pouvait-elle raisonnablement retrouver l’inspiration d’une autre époque (où ils étaient, comme leurs personnages, moins bourgeois). Bref, avec Les Bronzés 3, allait-on avoir la passe de trois ou un simple et juteux coup de marketing ?


À la sortie de la projection, la vérité se situe quelque part entre les deux. Si l’on prend – mais cela est impossible – le film pour une simple comédie à la française comme il en sort régulièrement dans nos salles, Les Bronzés 3 n’a pas à rougir de la comparaison. Le film amuse et distrait de manière suffisamment efficace grâce à un script et des comédiens qui connaissent parfaitement bien les rouages comiques d’un tel projet. Seulement voilà, on a affaire ici à la suite d’un diptyque ayant marqué à vie l’histoire du cinéma humoristique français et la comparaison est non seulement inévitable mais logique. Cette dernière n’est alors jamais au grand jamais en faveur du petit dernier. Les répliques instantanément mémorables qui serviront à se défouler les zygomatiques lors de soirées entre amis se comptent ici sur les doigts d’une main (« On s’est aimé avant de s’aimer, c’est beau, c'est comme un film de Lelouch. »). Les situations désopilantes capables de supporter un multi-visionnage incessant (Les Bronzés font du ski fait partie de ces films rares qui continuent à déclencher le même rire franc après plus d’une trentaine de visions) n’existent pour ainsi dire pas.

Et c’est finalement lorsque l’histoire prend un malin plaisir tardif à revenir sur les « lieux du crime » en rappelant les heures de gloire du deuxième épisode (l’anthologique séquence du refuge et ses italiens obsédés de la braguette) que Les Bronzés 3 semble tenir le bon bout (sans jeux de mots aucun). Peine perdue puisque le film se termine quelques dizaines de minutes plus tard, incapable de spéculer sur le vrai imbroglio sexuel qu’il a fait naître (« I want to know who fucked my wife ! »). Avant cela, il aura fallu se farcir une histoire de bête mystérieuse lacérant les clients de l’hôtel (une sous-intrigue qui plombe sérieusement le film durant une vingtaine de minutes), une lutte mollassonne entre Jean-Claude et Jerôme (Christian Clavier) pour le cœur de Gigi, la crise émotionnelle et physique de Bernard apprenant les orientations amoureuses de son fils ou encore l’énième histoire de fesses qui tourne mal de Popeye. Si les situations ne sont jamais ridicules ou honteuses, preuves que la fine équipe a su conserver une partie de sa verve truculente et sa capacité à la caricature comportementale imagée, les situations ne font cependant jamais mouches au point de provoquer l’hilarité espérée.

Film bancal dont l’atout premier – le plaisir de retrouver une joyeuse bande qui depuis le temps fait un peu partie des meubles – est aussi le point faible – la lourde et insurpassable hérédité comique des deux premiers film -, Les Bronzés 3 constitue bien une immense déception que l’on ne peut paradoxalement pas bouder. Amis pour la vie ?
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MessageSujet: Re: Ni pour, ni contre, bien au contraire...   Ni pour, ni contre, bien au contraire... EmptyVen 27 Jan - 17:58

celle de Excessif :

Alors ?!?… Alors Les bronzés 3, finalement ce n’est pas si mal ! On retrouve les mêmes qu’il y a 27 ans, avec le même ton, le même lot de futures répliques cultes et le même humour franchouillard, mais aussi des personnages toujours aussi bien typés et réservant quelques surprises. Si l’histoire reste assez légère et s’essouffle en cours de route, les retrouvailles sur fond des deux films précédents provoquent de bonnes contractions zygomatiques, un peu comme des souvenirs de vacances entre amis.

Les nombreux fans qui se rueront au cinéma le1er février ne seront pas dépaysés : même si Les bronzés 3 se passe en Sardaigne, les bronzés restent les bronzés. Le même esprit « bronzés » plane ainsi sur ce troisième opus dans la droite lignée des deux précédents et devrait satisfaire ceux qui en connaissent toutes les répliques sur le bout des doigts. Autre bonne nouvelle pour ces habitués cathodiques de la bande du Splendid, l’humour de ces Français moyens, devenus depuis plus aisés, est aussi au rendez-vous et le quota de répliques cultes devrait alimenter les conversations autour des machines à café. On retrouve bien les mêmes personnages que l’on avait quittés il y a 27 ans et que l’on revoyait avec plaisir dans leurs pérégrinations au club ou au ski, parfois plusieurs fois par an. Ce sont bien les mêmes… mais en pire. Bernard et Nathalie, devenus patrons de magasins d’optique sont plus beaufs que jamais, Gigi reste un peu légère, Popeye a toujours la gâchette facile avec les jolies femmes, tandis que Jérôme et Jean-Claude Dusse, dans un destin croisé, sont aussi suffisants que pathétiques. La première réussite du film tient donc en ces retrouvailles familières avec tous ces personnages devenus des icônes populaires, et dont on perçoit à nouveau les traits en dépit de leur évolution.

Car les personnages réservent aussi des surprises, fruits de trois décennies de séparation, et qui alimentent autant de nouvelles perspectives qu’elles ne réactivent d’anciennes histoires. A l’instar d’amis se retrouvant après une longue période, les bronzés évoquent aussi bien les changements de leur vie, que les souvenirs du passé dans un maelström qui tient lieu de structure narrative. Ainsi, les nouvelles orientations de certains personnages redonnent un coup de fouet à leur personnalité et aux interactions relationnelles à l’intérieur du groupe, en même temps qu’elles actualisent certains thèmes de notre société contemporaine comme l’homosexualité, la chirurgie plastique ou le « rêve américain ». Le film s’inscrit dans notre époque et l’évolution des personnages fonctionne à plein pour lancer la machine comique. Mais celle-ci s’appuie aussi intelligemment sur tout le patrimoine commun de cette bande, et par la même occasion sur le nôtre. Ainsi, Les bronzés 3 fait souvent référence, lors de privates jokes qui n’échapperont à personne, aux événements des deux opus précédents. Si le procédé illustre finement les souvenirs de nos amis, il permet aussi de relancer la machine comique en remettant au goût du jour l’autre thème principal de la trilogie avec les vacances, celui des amours. Les gags peuvent alors s’enchaîner avec efficacité pour surfer sur le même air que dans la jeunesse de la bande : sea (ou snow), sex and sun. Le mélange d’ancienne et de nouvelle caractérisation des personnages est ici très réussi en apportant cet humour labellisé « bronzés » grâce à un savant dosage entre leur caractère et leur évolution (seul Popeye reste un peu décevant, fidèle à lui-même), et à la parfaite adéquation du jeu des acteurs. Ainsi, tous tiennent formidablement bien leur rôle, rappelant les personnages qu’ils ont été et dévoilant ceux qu’ils sont devenus.

Si les amours au sein du groupe permettent de tirer une bonne ligne narrative, le film s’essouffle malgré tout à cause de la légèreté de son histoire. S’égarant alors dans la voie d’une vengeance monstrueuse, Les bronzés 3 perd presque son identité et se coupe de ses racines comiques. Le recours au passé en rappelant une fameuse soirée passée au cœur d’un chalet perdu dans la montagne, pour relancer l’intrigue apparaît alors très artificiel et marque une espèce de redondance que l’on retrouve dans la structure des gags, comme pour les dialogues de sourds ou les errements esthétiques (des postiches à la chirurgie). La fin laissera donc le spectateur quelque peu sur sa faim, une certaine fatigue émanant de nos héros. Pour autant, Les bronzés 3 devrait rameuter les foules sans aucun problème car cela fait toujours plaisir de voir ce que sont devenus ces personnes que l’on a fréquentées si longtemps, et même s’ils sont pires qu’avant, ils ne manqueront pas de nous faire rire et resteront nos amis pour la vie…


(les photos sont très bien, sur ce site !!)
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