répliques

Et si on faisait un listing de nos répliques cultes ?

C'est c'là, oui oui oui oui...
Écoutez Thérèse, je n'aime pas dire du mal des gens mais effectivement il est gentil...



Quelle bonne idée Bernard !

N'y voyez surtout pas le fantasme de l'homme... Mais plutôt comment dire... la recherche créative, le délire de l'artiste !
Félix ! C'est grotesque ! Lâchez ce jouet ! [PAN !] Éh bien méfiez-vous, ça n'est pas un jouet.
Thérèse ! Thérèse, i'm'étrangle ! I'm'écrase la pomme des dents !



Merci, Popeye, merci !

Nan mais je vous en prie ! Thérèse n'est pas moche ! Elle n'a pas le physique facile, c'est différent !

Je n'vous jette pas la pierre Pierre, mais j'étais à deux doigts de m'énerver !


Conversation type à SOS Détresse-Amitié :

-Pas eu trop d'appels Thérèse ?
-Non, rien d'grave ! Non
-Non, très bien !
-Oui c'est calme
-Oui ? Bien bien bien bien bien...
-Enfin, la routine, quoi..
-Oui enfin bien sûr...
-Oui c'est calme
-Bien
-Euh depuis six heures on a tout d'même eu un appel !
-Ah tout d'même oui ! Eh bien alors dis donc somme toute depuis six heures n'est-ce pas ça, ça doit être calme, n'est-ce pas...
-Bah remarquez tant mieux !
-C'est c'là oui... Le téléphone est raccroché oui le téléphone est raccroché n'est-ce pas. Nan mais quelquefois ça n'téléphone pas puis l'téléphone est décroché alors bien sûr ça téléphone pas quoi...
-Bah croyez-moi on est mieux ici qu'dehors... Vous savez que là mine rien un seul appel depuis six heures pour le soir de Noël, c'est tout d'même très calme, hein Thérèse...
-Bah notez d'un sens tant mieux...
-Tant mieux pour eux tant mieux pour eux vous avez raison Thérèse, oui oui. Parc'que pour nous pendant c'temps là c'est très calme hein...
-Écoutez Thérèse je n'devrai p'têtre pas dire ça mais franchement moi ça m'fiche le bourdon quand y a personne de déprimé...



C'est c'là oui... Naturellement, on se doute que ça doit vachement aider d'avoir quelqu'un comme ça au bout du fil quand on est déprimé...

Petite introduction au topic peut-être ?

"La ville est un animal monstrueux qui dévore sans pitié les faibles. Il est prouvé statistiquement qu'il y a deux fois plus de suicides chez les désespérés que chez les autres. C'est pour c'là qu'une poignée d'hommes et de femmes, bénévoles, ont créé Détresse-Amitié pour briser ce mur de silence. Pour vous qui êtes désespéré, il y aura toujours quelqu'un pour vous écouter et pour vous répondre [NB : Mais faut voir comment ;-)]. C'est très simple : composez sur le cadran le mot GURSIXO ou 487 74 90, et même le soir de Noël, nous saurons trouver les mots pour vous réconforter."

-Mais Thérèse si j'peux m'permettre, une bonne paire de chaussettes et hop !
[rire stupide]
-C'est vrai ! Une paire de chaussettes n'est-ce pas ! On dit de ces bêtises hein !
-Ben r'marquez hein, je préfère faire la permanence avec vous qu'avec Monsieur Musquin.
-Ho bah écoutez Thérèse vous m'gênez.
-Non : il est gentil si vous voulez mais franchement il manque un p'tit peu de fantaisie.
-C'est c'là oui... Écoutez Thérèse, je n'aime pas dire du mal des gens, mais effectivement il est gentil...

Quand les mots manquent pour exprimer ce que l'on pense vraiment, nous devrions tous suivre l'exemple de Pierre... :

-Écoutez Thérèse, rien qu'd'avoir pensé qu'c'était Noël c'est déjà formidable écoutez !
-Oui bah regardez d'abord, hein...
-Ohhhh ! De l'extérieur c'est déjà magnifique Thérèse !
[...]
-Ooooooohhhhhh ! OOOOOOOOOOOOOHHHH!... AAAAAAAAhhhhhhhh ! Alors vraiment écoutez alors Thérèse une serpillère c'est formidable ! C'est amusant ! C'est formi...
-Non c'est... c'est un gilet !
-Que oui ! Bien sûr c'est un gilet! Y a des trous plus grands pour les bras bien sûr. Je suis RAVI Thérèse !
[...]
-Le gris et l'bordeau ça mets toujours une tâche de gaieté... Je suis ravi !
[...]
-Écoutez Thérèse j'ai eu toutes sortes de pull-over mais comme ça jamais ! Je suis ravi ! Ah c'est formidable !
-Ah ça c'est une chose qui n'est pas commune et que vous n'verrez pas chez tout l'monde !
-J'espère bien !
-Écoutez Thérèse j'me disais toujours qu'il me manquait quelque chose pour descendre les poubelles je suis ravi !
-Vous savez, je suis contente que ça vous plaise parce que, je l'ai fait d'tête..
-Ah oui ? C'est extra hein...
-Je m'demanderais s'il ne s'rait pas un p'tit peu court...
-Ah ! Sur la gauche un p'tit peu Thérèse ! Franchement. Vous allez dire que, ou alors...
-Mais ça, ça s'rattrape facilement au lavage, quand c'est encore un p'tit peu humide, vous tirez de c'côté là...

-Non ! Bah si oh, c'est, c'est très frais, c'est... ça euh oui c'est très frais, je, je n'peux pas dire que j'n'aime pas... non.. Enfin c'est très différent de la dernière toile que j'avais vue de vous.
-Ah bah oui qu'est-ce que c'était !
-"Les Porcs à l'Usine", c'était un, un sujet un peu plus politique...
-Oui, non, vous savez c'était seulement le début de la série charcuterie à l'époque...

C'est fin, c'est très fin, ça s'mange sans faim

-J'vous ai apporté un cadeau d'mon pays.
-Oh il fallait pas, écoutez on va vous gronder... D'autant qu'on a rien prévu pour lui Pierre...
-Ah pour vous non... Nan mais comme on n'vous entends même pas marcher au-dessus, on, on croyait qu'vous étiez décédé...
[ ça fait toujours plaisir !]

-Je n'sais pas si vous avez remarqué Thérèse, il y a comme une espèce de deuxième couche à l'intérieur !

-Effectivement on a un p'tit peu l'impression qu'c'est fait à la main.
-Oui ! C'est roulé à la main sous les aisselles !

-Je n'vais p'têtre pas vous déranger plus longtemps...
-Honhonhonhonhon...
-Mais Madame Thérèse, je pourrais peut-être redescendre à l'occasion ?
-Ah mais oui ! Redescendez plutôt à c'moment là Monsieur Preskovic ! Exactement ouais ouais ! On s'ra plus tranquille on s'ra plus relax, si ça s'trouve on s'ra même pas là alors y a pas d'problème !

-Je s'rai bien resté un p'tit peu pour discuter avec vous...
-C'est-à-dire que, je n'connais pas grand-chose en machine agricole...

-Évidemment vous êtes surpris !
-Nan nan pas du tout ! Écoutez j'vous assure toutes sortes de gens nous appellent ici figurez-vous ! Regardez la s'maine dernière j'avais un communiste à l'appareil c'est pour vous dire !

-Mais... mais qu'est-ce que c'est qu'cette matière ? C'est... C'est d'la merde !
-Non, c'est Kloug !

-Bah écoutez Monsieur preskovic... On est content qu'vous soyiez passé nous faire un p'tit bonjour. Maintenant nous on va vous faire un p'tit au revoir comme on dit...

- Dis-don' Thérèse : t'as l'béguin pour Pierre, hein ?! T'es amoureuse ?
- Boh qu'est-ce que tu vas chercher là...
- Ouh, moi, je l'sens, quand les gens i'sont amoureux.. ça m'fait rire !
- Pas du tout Josette ! Bon, nous travaillons ensemble dans un communauté d'idées, alors naturellement des liens s'crééent, d'affection, de respect mutuel...
- Tu crois qu'il a un gros bazar ?
- Un gros quoi ?
- Un gros kiki...
- Écoute Josette, je sais p... on parle pas d'ces choses-là.. devant les gens !
- Ah bon il a un p'tit kiki alors ?!
- Non ! C'est.. Sûrement pas ! Il a sûrement euh... de taille norm... qu'est-ce que tu m'fais dire, alors ! Bon, on r'monte hein..
- PARCE QUE FÉLIX, IL A UN TRES GROS KIKI !

- Ouhouhouh ! Ouh putain ! ta mère ! salope ! donne-moi ça !
- Bravo ! c'qui d'vait arrivé est arrivé !
- Putain ! ta mère ! salope ! Ouhahaahh...
- Y'a certainement eu des blessés, là ?
[...]
- Excusez-moi pour tout à l'heure, Thérèse, j'ai dit des choses affreuses que je n'pensai pas... Je n'connais même pas votre mère alors...
- Oui, j'l'entendais bien ainsi, Pierre.

- Je vous hais, Mortez, je vous conchie !

- Moi je dis meeerde à l'amour, attention chaud devant je tâche !! Hmmm... i'coince ce fromage ! On dirait les coulisses de l'Alcazard ! Ah ah ahhh... Un petit poisson, un petit oiseau s'aimaient d'amour ten-dreu, mais comment s'y pren-dreu ! Quand on est dans l'eau !
- Dites-moi, Thérèse, vous êtes sûr que Proust était homosexuel ?

- Josette ? Qu'est-ce qu'il a lui...
- Rien, elle pique un p'tit roupillot pa'ce que félix, il lui a filé une claque.
- Bien ! Alors Josette, nous avons beaucoup discuté avec Thérèse, et nous sommes arrivés à la conclusion suivante !
- Josette, tu t'fous d'ma gueule, c'est pas écrit Allô Fred ici, j'ai pas quat'bras !
- Félix, c'est valable pour vous aussi ! Mais enfin écoutez-moi tous les deux ! Bon, l'enfant de Josette ne naîtra pas en prison, parce que c'est moi qui irai en prison à sa place. Ja vais donc me sacrifier...
- pardon...
- parce que.. nous avons peur qu'on n'croit pas à la thèse de l'accident, compte tenu de votre régime social. Enfin, cela dit sans vous offenser bien sûr ! Tandis que pour moi, ce sera plus facile enfin.. du moins j'l'espère... d'ailleurs nous allons déposer mes empreintes sur le révolver !
... Non mais ! Je sais pas si vous saisissez le sacrifice que j'me propose de faire pour VOUS ! Mais ! Josette, je vais dire que c'est MOI qui ai tiré sur ce malheureux technicien !
- Écoutez vous direz c'que vous voudrez, mais j'crois qu'c'est pas la peine !
- Bon écoutez, Josette, c'est déjà discuté ! mais dis-donc ? Où est l'corps ?
- Bon ! Tout est là...
- C'est-à-dire ?
- Le compte est bon ! Ben le gars, on a fini les paquets, en attendant d'le j'ter dehors !
- pardon ?
- Éh ben, Félix l'a coupé en bouts, on a fait des paquets parce que c'est Noël, pour pas laisser d'traces ! C'est pas con, hein ?!
- Certainement ma p'tite Josette ! Mais où est l'cadavre ?
- MAIS LAAA ! Ça fait une heure qu'on vous dit qu'on l'a découpé en morceaux et qu'on va l'balancé ni vu, ni connu ! Vous êtes bouché ?
- Aaah ! aaah !! AAAh ! Ah ! Mais c'est imonstrueux ! C'est ignoble ! Thérèse ! C'est ignoble ! Thérèse ! Thérèse ! Ils ont débité l'monsieur !
- Comment, Pierre ?
- Ils l'ont découpé en morceaux ! Ils l'ont mis dans des paquets ! C'est le bras, là, regardez, c'est le bras !
- Ça j'te l'avais dit, j'étais sûr, qu'il allait gueuler !
- je n'trouve pas ça drôle, Pierre...
- Je voulais bien m'dénoncer pour le mort ! mais pas pour les paquets !!
- J'ai froid, Pierre... j'ai froid !
- Ah ça va pas r'commencer hein ! [une claque]
- AAh !
- Éh mais la frappez pas ! Elle a rien fait !
- Éh euh.. j'vous signale quand même que j'ai fait tout ça pour arranger vos bidons, hein ?! Alors si vous êtes pas contents, vous avez qu'à r'coller les morceaux !
- Pis ce s'ra pas facile à r'coller parce que c'est tout mélangé !
- Mais on va recoller rien du tout !! Parce que je vais aller au commissariat pour dire que VOUS avez ignoblement découpé c'livreur !
- Ah ! et i'vous croirons, p't'êt' ! Alors moi j'ai découpé un mec ! Vous, vous étiez dans la pièce à côté, vous avez pas fait gaffe, c'est ça ?!
- Surtout si vous racontez tout c'que vous f'siez avec Thérèse dans la salle de bain, hein ?! Éh ben la police, i'vont bien s'bidonner !
- Ça vous f'rait une drôle de publicité, à SOS de mes deux ! Alors allez-y, appelez les poulets maintenant, si ça vous chante !
- Vous êtes une ordure !
- Pierre ? Ils ont aussi buté l'trav'lo !
- C'est un cauchemar, Thérèse ! I'faut qu'ça cesse !!



Vouâââlà... Pfouh ! lol !

ptdr !

C'est dur de sélectionner quelques répliques éparses ! Chaque phrase est culte ! En tout cas dans la pièce de théâtre à mon avis. Le film aussi est super et il y a plein de bonnes trouvailles, mais je trouve que la dernière demi-heure est un peu longue et moins drôle. Mais Madame Musquin est terrible, le pharmacien aussi !


-Franchement vous m'avez dépeint cette soirée avec brio !
-Avec qui ?
-Non, avec brio c'est une expression si vous voulez, qui veut dire, enfin...
-Voyez là c'est l'exemple frappant quoi : j'ai voulu faire de l'humour, c'est tombé complètement à plat.
-Avec brio... [rire stupide] Ah c'est très bon hein ! C'est très bon !
-Nan mais c'est trop tard là...
-Ah nan nan nan ! C'est très... J'la ressortirai ! Hein, enfin si j'connais quelqu'un qui s'appelle Brio j'la ressortirai !
-Nan mais vous riez pour m'faire plaisir ! C'est exactement comme pour danser voyez-vous j'adore danser. Eh bien les gens refusent de danser avec moi parce que soi-disant j'ai des grands pieds... Ils sont normaux ?
-Bien sûr !
-Bah alors c'est lamentable, peut-être, mais je dans seul !
-Bah vous avez tort ! Vous avez tort ! Écoutez j'vais vous faire une confidence, j'vais vous donner un bon conseil avant qu'vous partiez !... Voilà !... Moi-même je suis un piètre danseur, je, je danse affreusement mal, et pourtant je n'perds pas une occasion d'm'amuser ! 'Savez pourquoi ? Parce que je me fiche de l'opinion des autres ! Et vous devriez en faire autant, voilà la solution, merci Monsieur Mortez !
-Mais vous même je suis sûr que vous seriez gêné de danser avec moi...
-Heinheinnnn mais pas du tout pourquoi nan pas du tout ! Ahhahhh pas du tout nan ! Du tout du tout !
-Vous avez d'la musique ?
-Ah c'est-à-dire on a un p'tit poste maiaiiiis il est pas très puissant, quoi...
-Vous m'la mettez ?
-Pardon ?
-Vous m'la mettez la musique ?
-Heinheinnn ! Mais bien sûr mais bien sûr oui oui...
-C'est très aimable !
-J'vous préviens on est pas très riche alors on a un vieux Soeur Sourire mais ça va pas vous amuser, enfin... J'vais, j'vais vous mettre aut'chose !... Voilà !
-Ah oui oui !
-Alors euh, allons-y dansons !
-Heinheinnn mais bien sûr oui...
-Vous préférez conduire Monsieur Mortez ?
-Ah bah oui écoutez alors euh, tant, tant qu'à faire oui j'préfèrerais oui...
-Volontiers !
-Alors euh, allons-y oui...
-Ah c'est un bon slow hein !
-C'est, c'est excellent, c'est excellent oui oui.
-À c'propos, vous aimez Charles Aznavour ?
-Ah c'est c'est un grand chanteur ! Enfin, par la réputation si c'n'est par la taille bien sûr !
-Il paraît qu'c'était un très mauvais danseur !
-C'est possible, je n'sais pas, je n'sais pas...
-Ahahahahah...
-AhahahAHAHAHA !
-Excusez-moi je suis chatouilleux ! Alors euh, ne l'prenez pas mal, je, je suis une vraie pile électrique ! Franchement euh, même avec les... Enfin je suis chatouilleux vraiment !

La prochaine fois peut-être le remplissage de la feuille de sécu ? Mais bien sûr que ça dépasse !

- Entrez dans la maison du bon dieu !
- Attention, attention c'est très chaud, j'ai réussi à le réccupérer, ça sort du four ! C'est brûlant.
- Ah, du dessert ! C'est une bûche ?
- Non, c'est klug.
- Non, ah non ! Non, non, non, non, non ! M. Prescovic, on avait fini de dîner, et ces personnes allaient partir.
- Non mais i'nous jetterait à la rue sans sucre, lui ?
- Mais moi j'en veux du dessert !
- Oui, écoutez Pierre.. on a bien cinq minutes, tout de même... personne n'appelle en c'moment. Dites-moi, monsieur Prescovic, c'n'est pas le même klug que tout à l'heure...
- Ah c'est parce qu'il a changé, je l'ai colmaté avec le chpountz.
- Ah oui ! Bien, combien sommes-nous...
- Pas pour moi ! Merci.
- Oh, écoutez Pierre...
- Mais oui, laissez-vous tenter !
- Une tite lichette alors.
[Prlprlprlpl !]
- Oh ! Le gâteau il a pété !
- Mais qu'est-ce que c'est qu'cette odeur épouventable !
- C'est vrai, on croirait une boule puante...
- Ça i'faut r'connaître que l'odeur n'est pas très agréable !
- C'est parce que c'est très chaud ! Le chpountz fermente à la mi-cuisson, les odeurs s'exalent...
- Ah oui ! Comme une fosse septique, quoi...
- Oui, euh, en réfléchissant, moi je suis grasse comme un loukoum, hein... Alors, j'vais m'abstenir !
- Quand ça sent très fort, en général, c'est très bon ! Regardez, le mou. Éh ben une bonne fricassée d'mou, c'est très bon, mais ça chlingue !!
- Ouh ! Ben crotte, j'ai cassé mon couteau ! C'est mou à l'extérieur, et à l'intérieur c'est comme de la pierre.
- C'est parce que ça n'a pas l'temps de durcir partout, c'est trop chaud ! Il faudrait mettre cinq minutes, au frigidaire...
- Très bonne idée monsieur Prescovic ! Vous savez c'que vous allez faire ? Vous allez le ramener chez vous, et l'manger ! Et l'monter ! quand il sera mangeable ! Parce que le frigidaire est cassé chez nous.
- Mais non, Pierre, le frigidaire n'est pas cassé.
- Mais si, Thérèse.
- Écoutez, Pierre, on peut bien faire un p'tit plaisir à monsieur Prescovic...
- Ou peut-être, un bord de f'nêtre !
- Fenêtre ! Excellent, monsieur Prescovic ! Avec la p'tite bise qu'il y a ce soir, ça va le refroidir, en moins de deux.
- C'est ça oui, ouvrez la f'nêtre, ça va aérer...
- Attention qu'i s'envole pas !
- Mais vous m'prenez pour un idiot, Josette ?!
[bris de verres]
- Ohh !! Que c'est bête, je crains d'avoir été maladroit, monsieur Prescovic !
- Qu'est-ce qu'i s'est passé ?
- Il s'est envolé, voilà !
- Il faudrait aller nettoyer ! Parce qu'imaginez qu'un chien vienne à manger ça, il pourrait être malade.

-Il faudrait peut-être que j'aille mettre mon nom sur le pare-brise, c'est plus correct, non ?
-[Je me rappelle plus trop donc c'est approximatif ; si vous avez la vraie réplique vous pouvez me le dire je changerai] Ah bah oui ! C'est plus correct tout de même !


ptdr !!!

Ah, ce père Noël !

-C'est là que je m'aperçois que malheureusement je vous ai beaucoup moins bien réussi que le cochon...

-Homme en retard, liaison dans le tiroir !

- Oh.. i'm'a coupé dans mon élan ! J'allais vous montrer mon tableau, et maintenant j'ai l'trac ! je n'sais pas s'il vous plaira.
- C'est l'intention qui compte !
...
- Bon, c'est-à-dire, bien sûr il faut l'voir chez soi, hein...
- Oui... non, c'est.. je n'peux pas dire que j'n'aime pas, Pierre, non.. c'... ben, c'... Le village est gentil, là mais... c'est l'intervention d'cette grosse femme, c'est... ça va très loin !
- Oui, mais, c'est, c'est là là que j'me rends compte que malheureusement, je vous ai beaucoup moins réussi qu'le porc.

Excusez-moi pour toutes les grossièretés qui vont suivre, mais c’est pas moi, c’est le film ! Je vais citer les deux passages avec Michel Blanc au téléphone… Désolé, encore hein… Mais ce sont deux passages hilarants (comme tout le film).

- Mais n’vous rongez pas les sangs, Pierre, cet homme va passer cinq minutes, vous allez l’réconforter comme vous savez si bien le faire, et pis i’va s’en aller !
- Non, Thérèse, j’ai transgressé l’règlement !
- Mais dans certains cas extrêmes, c’est toléré par nos statuts.
- Éh bien justement, Thérèse, ça n’était pas un cas extrême ! Non, j’ai été faible et lâche… c’est un échec !
[Drrrring…]
- Laissez-moi m’rattraper, Thérèse. Allô ! Détresse amitié, Joyeux Noël !
- Allô ?
- Oui ?! Joyeux Noël, monsieur !
- Joyeux Noël… j’vous appelle parce que c’est mon dernier Noël…
- C’est c’la, oui !
- Je suis atteint d’leucémie et je vais mourir dans deux mois…
- C’est c’la, oui…
- Et comme je suis seul ce soir j’aimerais… souhaiter un joyeux Noël à une femme…
- Bien monsieur, c’est une… c’est une très belle preuve de courage que vous nous donnez là… je vous passe ma collaboratrice…
- Joyeux Noël mons.. enfin si j’puis m’exprimer ainsi…
- Comment vous appelez-vous ?
- Je m’appelle Thérèse.
- Je t’encule, Thérèse ! Je te retourne contre l’mur, je te défonce ! Je te mets, Thérèse !
- Ça n’nous intéresse pas ! Arrêtez ça ! Ça n’nous intéresse pas ! Ça n’nous intéresse plus !
- J’parle pas aux pédé, r’passe-moi la gouine !!
- Ça n’m’intéresse pas, arrêtez ça ! C’est un vice ! I’va encore nous bloquer la ligne toute la soirée ! Ça n’nous intéresse pas !
- Alors là écoutez, Pierre, vous qui souhaitiez d’l’animation, de c’côté-là c’est parfaitement réussi !


- J’vais appeler les agents, i’vont y faire sa fête !
- tu avances quand je recul-eu…
- Quoi ? Quoi ?
- comment veux-tu, comment veux-tu que je t’encu-leu !
- Ben quoi, qu’est-ce que c’est ?
- C’est pas Thérèse ?
- Non.
- C’est une nouvelle ?
- Vouich.
- Comment tu t’appelles ?
- Euh, moi c’est Josette.
- Je t’encule, Josette ! je te baise, j’te r’tourne, j’te r’baise, et tu m’suce ! Tu m’entends Josette ? Je vais t’enculer !
- MAIS AVEC QUOI, TÊTE DE NŒUD, FOUS-MOI LA PAIX, FOUR A MERDE, ENCULE-TOI TOUT SEUL ESPECE DE MAL-POLIch ! Ahhh, bravo la police !
- Mon cul ! je l’emmerde, la police !!
- Donnez-moi ça, vous ! Poussez-vous ! Ohh…
- La lala lalalalala la…
- Allô ?
- Oui ?
- Excusez-nous, monsieur, vraiment… Vous n’aviez pas à faire une répondante, y’a eu un p’tit malentendu…
- Un malentendu, vieux cul ! Vieille morue ! J’te pète la roulette, peau d’couille ! LA LALALA…
- Très poétique ! Très très poétique, je n’connaissais pas toutes ces expressions…
- Ben voui, ben voui…
- Éh bien allez-y, insultez-moi à loisir nous sommes là pour ça !
- Oui ! euh… mpff !
- Béh, que s’passe-t-il ?
- hein ?
- Vous n’continuez pas, monsieur ? Vous en étiez à « peau de... couille », je crois, hein ? Que s’passe-t-il ensuite ?
- …
- Voilà comment on les calme ! Bon, ben moi j’vais récupérer mes cadeaux… enfin, c’qu’il en reste… ET SURTOUT NE TOUCHEZ PLUS AU TÉLÉPHONE !


- M’sieur Pierre ?
- Oui ?
- Y’a un monsieur très mal poli qui a téléphoner, i’voulait enculer Thérèse !
- … Oui mais c’est un ami !
- Ah ben ça va alors !


Voilà, j’arrête là ! Encore désolé, hein, mais ce sont des répliques du film ! Les pires, certes, mais des répliques tout de même ! Et c’est drôle ! Non ? lol !

"Tu arrêtes ton scandale sinon on va te taper !"

je l'ai regardé récemment, j'étais mort de rire du début à la fin ! Ce film est génialissime.

Ah oui, j'avais oublié cette réplique ! C'est excellent ! C'est vrai qu'il n'y a pas une phrase qui ne soit pas drôle !

"je voudrais un morceau de cette chose longue et molle..."

"Tout n'est pas tout noir... Y'A BEAUCOUP D'GRIS !!!"

"Vous êtes dans une mauvaise passe, mais le bout du tunnel n'est peut-être pas si loin !"

"J'suis au bout du rouleau, là, qu'est-ce que je dois faire ?
-Allo ? Je n'vous entends pas ! Appuyez sur le bouton !
[PAN !]
-Allo ? La prochaine fois, appelez d'une cabine qui fonctionne !"

Je vois qu'on n'est que deux à participer... lol
On aura eu le temps de sortir trois fois chaque réplique avant que les autres se réveillent ! ;-) Je plaisante !

"Ah non ça va pas r'commencer ! Là c'est carrément grotesque hein ?! Qui a eu la bonne idée d'appuyer sur le bouton ? Ah mais je vous vois ! je vous vois très bien, vous savez ?!"

(c'est vrai qu'on n'est que deux !! Où sont les autres ?? Lol !)

Peut-être que l'ascenseur est encore bloqué, ou bien que les Spouttsi et le Kloug les ont quelque peu barbouillés... ça ne m'étonnerait pas tant que ça... lol

(Ou alors ils n'ont pas pu venir jusqu'ici parce qu'ils se sont "pété le talon en marchant" et qu'ils ont "passé l'heure la plus effroyable de toute" leur vie ! Non ? )

- Vous partiez madame Thérèse ?
- Oui, notre ami s'est blessé à la tête
- C'est-à-dire que c'est ralant parce que quand on aime les doubitchous, on aime lé kloug aux marrons, c'est pétite douceur !

- Vous allez pas tirer sur une femme qui porte la vie ?! Et vous savez pourquoi ? Parc'qu'y'en a des milliers comme vous !! Physique abject mais bon fond ! Donnez-moi c'révolver, Félix... Vous n'êtes pas une ordure... N'EST-CE PAS !
- Lâche ça, grosse conne !!
[PAN !]
- Ah i'm'a niqué l'pied, i'm'a niqué l'pied !

j'en ai oublié une que j'adore.. :

- C'que t'es z'intelligent, Félix !

Bah alors, y'a plus personne ??

- Monsieur, c'que vous avez fait sous mes yeux alors que j'étais impuissante ne mérite aucune pitié ! [CLAC ! CLAC !] Jeu d'main, jeu d'vilain !!
- On se calme, on se calme ! Thérèse, serviette ! On n'résoud pas les problèmes par la violence, on n'est pas chez les sauvages !

trop forte ces réplique
vous avait réécris tout le film